Comment es-tu devenue architecte d’intérieur ?
En 2011, des amis qui avaient une boulangerie très réputée à Atlanta (Douceur de France) m’ont demandé de les aider à repenser leur espace de vente et de restauration. Je me suis dit que j’adorais faire ça et l’idée a germé d’en faire mon métier. Je me suis formée de façon empirique et j’ai lancé White November Studio en 2017. Je me suis fait connaître par le bouche-à-oreille.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton métier ?
Mon moteur c’est de parvenir à réaliser pour mes clients l’espace de vie qui va devenir leur HOME SWEET HOME. Techniquement parlant, ce que je préfère c’est l’aménagement d’espace. Je travaille sur des nouvelles constructions, des rénovations et du réaménagement d’espace. Je peux travailler partout. Mes clients sont principalement à Atlanta, j’ai des chantiers en France et je peux me déplacer en fonction des besoins de mes clients. Par exemple, j’ai eu un projet à Port Saint Lucie en Floride.
Ton activité en chiffres c’est quoi ?
C’est cocasse parce qu’avant que tu me poses cette question, je n’avais jamais fait le compte. Ca me permet de réaliser qu’en 6 ans, j’en suis presque à 50 projets !
Qu’est-ce qui fait ta spécificité ?
Je fais de grosses rénovations et ce qui me caractérise c’est la touche et l’élégance « à la française. J’ai en plus une spécialité dans la rénovation et implantation de cuisines.
As-tu une anecdote à nous raconter ?
Le plus beau compliment pour moi est venu d’un appel d’une cliente qui m’a dit qu’elle voulait me faire un feedback après un an passé dans sa maison rénovée. Elle m’a dit qu’elle et sa famille se sentaient vraiment chez eux et qu’ils ne changeraient rien à ce qu’on avait fait.
Me vient aussi un exemple très touchant d’une cliente qui n’avait jamais fait appel à un architecte d’intérieur et qui n’osait pas exprimer sa personnalité dans le décor de sa maison. Je l’ai accompagnée pour « oser » être elle-même. Elle a pris confiance et a réalisé un espace qui lui ressemble.
Aurais-tu un conseil en particulier à donner ?
Le mieux c’est de me contacter par téléphone pour une prise de contact et discuter sur une collaboration éventuelle. Dans ce métier, il est essentiel que le courant passe, si je peux dire.